Julia Samier Sophrologue

Mes spécialités :

La prise en charge de la douleur :

Lorsqu’on a mal, que fait-on ? On peut prendre un traitement, ou même choisir de « penser à autre chose ». Parfois, on peut se retrouver comme « dans une impasse » face à une douleur chronique, post-opératoire, etc. Quand les traitements chimiques ne suffisent plus, les médecines dites « douces » ou « complémentaires » peuvent vous aider. Et la Sophrologie peut être une solution.

Grâce à des exercices spécifiques, on peut « modifier » les informations nociceptives (de la douleur) entre le cerveau et le reste du corps et la façon dont votre cerveau reçoit, analyse et gère l’information de la douleur. Ainsi, avec bienveillance, prise de conscience de son corps et prise de recul, on peut atténuer, voire éliminer, une douleur récurrente.

Dans le contexte de pathologies dites « gynécologiques », la Sophrologie peut jouer un rôle déterminant dans la gestion de la douleur. À travers des exercices de respiration et de visualisation adaptés à votre pathologie, aux douleurs et à votre cycle, vous pouvez commencer à prendre de la distance par rapport à la situation et la douleur, et à apprendre à gérer cette dernière. Il en va ainsi de l’endométriose, l’adénomyose, le SOPK, etc… qui sont des pathologies pour lesquelles la réponse thérapeutique (et antalgique) actuelle semble insuffisante ou perfectible. Cet accompagnement bienveillant s’adresse également aux femmes souffrant de règles douloureuses, sans diagnostic posé, ou en cours de diagnostic.

Focus sur la douleur et l'endométriose :

Les mécanismes de la douleur sont nombreux dans le cas de l’endométriose, ce qui explique sa prise en charge complexe. Tout d’abord, l’endométriose est caractérisée par l’apparition de lésions causées par les cellules de l’endomètre se déposant sur des organes, muscles, os, ligaments, etc. en dehors de l’utérus. Ces lésions « agressent » donc le ou les organes touchés, ainsi que les nerfs présents. De ce fait, les organes vont alors se rétracter, se contracter et s’immobiliser, la circulation sanguine se ralentir, et les nerfs vont envoyer des informations de douleur chroniques : c’est ce qu’on appelle les douleurs neuropathiques. Pendant les règles, le processus inflammatoire va venir accentuer ces douleurs.

Au niveau cérébral, l’information douloureuse reçue peut être amplifiée par nos émotions. En effet, il a été démontré scientifiquement que la zone de gestion des émotions, et la zone de la douleur et de sa gestion, ont de nombreuses liaisons neurologiques. Ainsi, lorsqu’une personne a tendance à être pessimiste, résignée, stressée, et est dans l’appréhension d’avoir mal, elle a plus de chance de ressentir davantage la douleur, et de « l’entretenir ». A l’inverse, si vous êtes davantage optimiste, dans l’acceptation, gérez mieux votre stress, prenez du recul vis-à-vis de la situation, etc, vous pourrez diminuer la douleur.

Ainsi, la Sophrologie est intéressante pour apprendre à gérer la douleur, car elle permet de mobiliser les organes abdominaux-pelviens, grâce à des exercices de mouvements doux et à la respiration (pour limiter leur rétractation et immobilisation, et donc leur moins bon fonctionnement). Mais elle permet aussi de modifier sa façon de pensée, en étant plus positif et moins stressé, afin de « reformater » son cerveau, et de mettre la douleur à distance.

Il est donc conseillé, dans la gestion de la douleur liée à l’endométriose/adénomyose, de bénéficier d’un traitement médicamenteux adapté, d’une approche corporelle ou « mécanique » pour mobiliser vos organes abdominaux-pelviens (yoga, pilates, activité physique, massages, etc.), et d’un accompagnement psychocorporel, pour à la fois agir sur la détente corporelle, et « reformater » positivement son cerveau face à l’information de la douleur (comme la Sophrologie, par exemple).

Le développement personnel de la femme :

Au cours de ces dernières décennies, les femmes ont gagné de nombreuses victoires juridiques, sociales, professionnelles, personnelles. Malgré des inégalités encore présentes, la femme apprend désormais à composer entre sa vie professionnelle, personnelle, familiale, sexuelle, etc. Sollicitée continuellement, de tous les côtés, elle peut (s’)oublier sa féminité, son cycle menstruel, ses émotions, ses besoins, ses envies, son féminin sacré. Pourtant, son intuition, son pouvoir et sa sensualité sont présents en elle. Mais l’Histoire a eu raison de ceux-ci. La femme doit se souvenir qu’elle est le lien entre le monde visible et invisible, la vie et la mort, qu’elle n’est pas simplement linéaire dans ses émotions et réactions, mais bien plus complexe et cyclique, comme la Lune, les saisons, la rotation de la Terre, etc.

Grâce à la Sophrologie, je peux vous aider à accueillir vos ressentis et émotions, à les comprendre et les accepter, à être davantage bienveillante avec vous-même et les autres, à vous aimer et à exprimer librement vos sentiments, à vous affirmer, à vous pardonner et à pardonner, à rayonner.

Je peux vous aider à retrouver un épanouissement et votre féminin sacré.
Parce qu’être une femme, c’est une chance.